En plein couvre-feu, Raphaël Lavoie a créé 50%+1, une boutique solidaire pour OUI Québec, avec des produits inspirés du référendum de 1980. À travers sa machine 3D, il mêle créativité et militantisme, prouvant qu’on peut se réinventer pour un Québec libre.
Annie Lawrence jongle entre militantisme et passion pour les arts textiles. Depuis ses 16 ans, elle s’implique dans le Cercle des fermières où elle trouve autant un savoir-faire qu’une communauté tissée serrée.
Yves Lacroix, archiviste retraité du mouvement, a consacré toutes ses vacances pendant des décennies à immortaliser le badminton aux quatre coins du monde, couvrant plus de 130 tournois et quatre Jeux olympiques. Maintenant à la retraite, il est toujours aussi actif !
Sarah Smith, conseillère à la FNEEQ, dénonce la brutalité d’une reprise de logement en pleine crise du logement dans Chronique d’une crise, un documentaire poignant réalisé par son conjoint, Simon.
Geneviève Lambert-Pilotte, conseillère à l’information du CCMM-CSN, est aussi membre fondatrice de l’épicerie solidaire Le Détour, un projet communautaire qui offre des produits essentiels à prix abordables tout en renforçant les liens de solidarité dans le quartier ouvrier de Pointe-Saint-Charles.
Quand il n’est pas plongé dans ses dossiers syndicaux, Mikaël Hébert, conseiller SAMVR à Québec, travaille avec des amis à concrétiser un projet qui lui tient à cœur : l’ouverture prochaine d’un magasin Warhammer.
Découvrez comment Andréanne Jourdain, conseillère syndicale passionnée, a transformé son confinement en une aventure créative avec ses savons faits à la main.
Shanti Larochelle, employée de bureau à la FEESP, milite maintenant depuis trois ans comme porte-parole du collectif Souliers et vélos fantômes Québec pour honorer leur mémoire et pour des aménagements routiers qui minimisent et éliminent les risques aux usagers vulnérables de la route.
Publié chez Écosociété, le livre d’Alain Savard est une adaptation et une traduction de la bible sur l’organisation syndicale du groupe Labor Notes.
Julie Mercier, conseillère syndicale au Service des communications, a adhéré depuis de nombreuses années aux philosophies des peakbaggers, « mais ces jours-ci, j’essaye de me détacher des chiffres. »
Le STTCSN salue les peuples autochtones qui se sont établi, des millénaires avant la colonisation, sur le territoire non cédé où nous travaillons et militons. Nous reconnaissons la souffrance infligée aux enfants, aux femmes, aux personnes bispirituelles, et aux hommes autochtones, à travers la violence coloniale et la dépossession culturelle et territoriale. Par ses valeurs, le STTCSN s’engage à établir et à maintenir de saines relations avec les communautés autochtones, à revendiquer le respect de leurs droits et de leurs liens au territoire et à accroître leur représentation au sein de notre mouvement.
